vendredi 27 octobre 2023

L'ode à la liberté: piloter dans les cieux

 

Depuis la nuit des temps, l'homme regarde le ciel avec émerveillement et nostalgie. Le rêve du voyage aérien a captivé notre imagination créatrice, depuis les contes d'Icare et de Dédale jusqu'aux vols révolutionnaires de vos frères Wright. Tandis que la faune et la flore s'élevaient dans les airs, les hommes restaient connectés au monde. Mais ce n'est plus le cas aujourd'hui. Apprendre à piloter un avion, c'est bien plus qu'acquérir une compétence, c'est accéder à un sentiment de liberté inégalé.

La procédure d'apprentissage du pilotage est minutieuse et comporte de nombreuses facettes. Avant de pouvoir prendre l'air, il faut assimiler une multitude de connaissances. L'aérodynamique, la météorologie, la navigation et la mécanique aéronautique ne sont que quelques-uns des domaines qu'un pilote en devenir doit maîtriser. Cette formation de base permet à l'élève d'acquérir les connaissances nécessaires pour piloter en toute sécurité.

L'école de pilotage, comme cette phase est souvent appelée, est le point de départ de la relation entre le pilote et l'avion. Grâce à des heures d'examen, l'élève est intimement informé des subtilités de l'avion, dont il apprend les points forts, les défauts et les bizarreries. C'est un lien de confiance qui s'établit, nécessaire pour relever les défis à venir.

Rien n'est comparable à la première fois qu'un célibataire sent les roues de l'avion quitter le sol. C'est l'aboutissement de semaines, voire de mois, de préparation. Le globe se rétrécit, et ce qui paraissait vaste et écrasant devient petit et lointain. Au fur et à mesure que le sol se retire, une nouvelle perspective apparaît. Les villes, les forêts et les océans se transforment en motifs complexes, rappelant à l'initial l'immense tapisserie de la vie.

Ce premier vol peut être un rite de passage, une expérience pratique de transformation où l'inquiétude et l'anxiété font place à l'exaltation et à la responsabilisation. Se rendre compte que l'on contrôle ce perroquet de métal, que l'on guide sa trajectoire dans l'immensité de l'atmosphère, est très libérateur.

Voyager en avion ne consiste pas seulement à contrôler un avion ; c'est une danse avec tous les éléments. Le ciel n'est pas forcément dégagé et les vents ne sont pas forcément calmes. Un pilote découvre à admirer les poussées de l'extérieur, comprenant que même s'il commande l'avion, ce sont les conditions météorologiques qui régissent le ciel.

Ce partenariat avec l'extérieur ajoute à l'indépendance du vol. C'est un obstacle dynamique, où l'on apprend à évoluer, à penser autour du vol, à prendre des décisions qui garantissent la sécurité tout en profitant de l'expérience. Cette harmonie entre gestion et abandon est un bel aspect du pilotage, soulignant l'harmonie qui doit exister entre les humains et la nature.

Lorsque l'on a acquis les compétences et la confiance en soi nécessaires pour voyager, le monde devient vraiment plus petit. Ce qui paraissait autrefois insurmontable peut désormais être réglé en temps voulu. Les barrières géographiques et les fuseaux horaires s'estompent. Les pilotes ont le privilège d'assister à des levers et des couchers de soleil dans des endroits que beaucoup ne peuvent qu'imaginer. Ils peuvent prendre leur petit-déjeuner dans une ville et dîner dans une autre, ce qui témoigne de l'incroyable liberté que procure le voyage.

Apprendre à voler n'est pas seulement un voyage extérieur à travers les paysages, c'est aussi un profond voyage intérieur. Les défis que l'on relève et que l'on conquiert au cours du processus d'apprentissage inspirent une profonde sensation de confiance. Les aviateurs apprennent à croire en eux-mêmes, à porter des jugements cruciaux sous l'effet du stress et à relever des défis imprévus avec sang-froid.

Cette confiance se répercute sur d'autres aspects de la vie. Un pilote, qui a touché le ciel, sait que de nombreuses limites sont imposées par lui-même. L'horizon n'est pas une frontière mais un appel, un rappel qu'il y a toujours beaucoup plus à explorer, baptême de l'air Paris Pontoise à découvrir et à atteindre.

Si le vol offre un formidable sentiment de liberté, il offre également un point de vue particulier. Depuis l'atmosphère, on peut admirer la beauté de notre planète, mais aussi les problèmes les plus graves. La déforestation, la contamination et l'étalement urbain sont visibles d'en haut et constituent des alertes poignantes de notre impact sur la planète.

Cette vue plongeante inculque souvent aux pilotes d'avion un sens aigu des responsabilités. La liberté du ciel a le devoir de garder et de préserver notre monde. Plusieurs pilotes deviennent des défenseurs de la durabilité, sachant que le ciel qu'ils apprécient est intrinsèquement lié au bien-être de la terre.

Comprendre comment voler est plus qu'une capacité ; c'est un voyage profond de développement, d'autonomisation et de liberté. Alors que la terre s'éloigne et que l'horizon s'étend à l'infini, on se rend compte des possibilités illimitées qui existent. Le ciel n'est pas une limite mais une invitation, un appel à apprendre, à rêver et à découvrir. Pour reprendre les mots et les phrases de Léonard de Vinci, "une fois que vous aurez goûté au vol, vous pourrez marcher sur la planète Terre les yeux tournés vers le ciel, car c'est là que vous auriez pu être, c'est là que vous aurez toujours envie de revenir".


 

mercredi 13 septembre 2023

Les Dangers de la Montagne : Une Exploration des Risques Inhérents

 La montagne, majestueuse et imposante, a toujours exercé une fascination profonde sur l'homme. Ses sommets enneigés, ses falaises vertigineuses et ses vallées pittoresques attirent des millions d'amateurs de plein air chaque année. Cependant, derrière sa beauté à couper le souffle se cachent des dangers réels et souvent sous-estimés. Dans cet essai, nous explorerons les risques inhérents à la montagne et l'importance de la préparation et de la vigilance pour les surmonter.

Les dangers de la montagne sont variés et omniprésents. L'un des risques les plus évidents est la météo changeante. Les montagnes créent leur propre climat, avec des conditions météorologiques extrêmes qui peuvent passer d'un ciel ensoleillé à une tempête de neige féroce en quelques minutes. Les tempêtes soudaines, les vents violents et les avalanches sont autant de menaces qui guettent les alpinistes, les randonneurs et les skieurs. Les personnes qui ne sont pas préparées à affronter ces conditions peuvent rapidement se retrouver en danger.

Outre les conditions météorologiques, le terrain montagneux est souvent très accidenté et difficile à traverser. Les sentiers escarpés, les rochers glissants et les précipices vertigineux sont autant d'obstacles qui peuvent entraîner des chutes graves. De plus, l'altitude elle-même présente un risque. L'hypoxie, ou le manque d'oxygène à des altitudes élevées, peut provoquer le mal des montagnes, une condition potentiellement mortelle qui se manifeste par des symptômes tels que des maux de tête, des nausées et des étourdissements.

Les animaux sauvages constituent une autre menace dans les montagnes. Des prédateurs tels que les ours et les loups peuvent être présents dans certaines régions, et les rencontres imprévues avec ces créatures peuvent être dangereuses. De plus, les insectes et les serpents venimeux peuvent également représenter un danger pour les randonneurs et les campeurs.

Outre les dangers naturels, la montagne peut également être le théâtre d'accidents causés par l'homme. Les activités de plein air telles que l'escalade et le ski comportent des risques inhérents, et les erreurs humaines peuvent avoir des conséquences graves. Les alpinistes inexpérimentés peuvent se retrouver piégés dans des situations périlleuses, tandis que les skieurs hors-piste peuvent déclencher des avalanches en explorant des zones non balisées.

Malheureusement, de nombreuses personnes sous-estiment ces dangers et se lancent imprudemment dans des aventures en montagne sans la préparation adéquate. Cela peut entraîner des situations critiques qui nécessitent des opérations de sauvetage coûteuses et potentiellement mortelles. En outre, les sauveteurs eux-mêmes prennent souvent des risques considérables pour secourir les personnes en détresse en montagne.

Face à ces dangers, il est impératif que toute personne envisageant une excursion en montagne se prépare soigneusement. La planification est essentielle. Il faut tenir compte des conditions météorologiques prévues, de l'altitude, de la durée du voyage et de l'équipement nécessaire. Il est également crucial de laisser un itinéraire détaillé à quelqu'un de confiance et de vérifier régulièrement l'état des sentiers et des conditions météorologiques pendant l'expédition.

L'équipement adéquat est tout aussi important. Des vêtements chauds, des chaussures de randonnée robustes, un équipement d'escalade de qualité et un équipement de camping adéquat sont indispensables pour affronter les défis de la montagne. De plus, un kit de premiers secours bien approvisionné peut être la différence entre la vie et la mort en cas d'accident.

La formation est également cruciale pour minimiser les risques en montagne. Les alpinistes, les skieurs et les randonneurs doivent acquérir des compétences essentielles telles que l'orientation, la gestion des avalanches et les premiers secours en altitude. Les cours dispensés par des professionnels expérimentés sont un moyen efficace d'acquérir ces compétences.

Enfin, il est essentiel de respecter la montagne et son environnement. Les activités humaines en montagne peuvent avoir un impact négatif sur la faune, la flore et les écosystèmes fragiles. Les visiteurs doivent donc s'efforcer de minimiser leur empreinte environnementale en suivant les principes du Leave No Trace, qui préconisent le respect de la nature et la réduction des déchets.

En conclusion, la montagne, tout en offrant des paysages à couper le souffle et des expériences inoubliables, comporte des dangers bien réels. Les conditions météorologiques changeantes, le terrain accidenté, l'altitude, la faune sauvage et les risques humains font tous partie des menaces potentielles en montagne. Cependant, avec une planification minutieuse, un équipement approprié, une formation adéquate et le respect de l'environnement, il est possible de minimiser ces risques et de profiter en toute sécurité de la beauté des sommets. La montagne demande du respect et de la préparation, mais elle offre en retour des aventures incomparables pour ceux qui sont prêts à relever le défi.

Santa Barbara, Californie : Une Parenthèse Enchantée pour Prendre le Temps

 Dans le tourbillon effréné de la vie moderne, il est essentiel de trouver des moments pour ralentir, se ressourcer et prendre le temps de se reconnecter à soi-même. Santa Barbara, une ville pittoresque située en Californie, offre un attrait particulier pour ceux qui cherchent à s'échapper de l'agitation quotidienne. Dans cet essai, nous explorerons les raisons pour lesquelles Santa Barbara est un véritable havre de paix, invitant les visiteurs à ralentir, à savourer les plaisirs simples de la vie et à apprécier chaque instant.

Santa Barbara est nichée entre les montagnes de la chaîne de Santa Ynez et les eaux calmes et scintillantes de l'océan Pacifique. Cette situation géographique offre des paysages à couper le souffle, parfaits pour se détendre et se ressourcer. Les plages de sable fin, les jardins luxuriants et les parcs verdoyants invitent à la contemplation et à l'appréciation de la nature environnante. Les couchers de soleil spectaculaires sur l'océan offrent des moments magiques pour savourer la beauté de l'instant présent.

La culture de Santa Barbara reflète un mode de vie calme et détendu, où le temps est apprécié et respecté. La ville regorge de petites boutiques locales, de cafés chaleureux et de marchés en plein air, où l'on peut flâner, prendre son temps et savourer chaque expérience. L'accent est mis sur la qualité de vie, la simplicité et l'authenticité. Les habitants de Santa Barbara accordent une grande importance à l'équilibre entre le travail et les loisirs, ce qui se reflète dans l'atmosphère paisible de la ville.

Santa Barbara propose une multitude d'activités qui encouragent la détente et le bien-être. Les spas de renommée mondiale offrent des soins apaisants et régénérants, permettant aux visiteurs de se dorloter et de se détendre profondément. Les sentiers de randonnée serpentant à travers les montagnes environnantes offrent des moments d'évasion en pleine nature, propices à la réflexion et à la tranquillité d'esprit. De plus, les vignobles pittoresques de la région invitent à la dégustation de vins, à la déconnexion et à la délectation des plaisirs gustatifs.

L'attractivité de Santa Barbara réside également dans la chaleur et l'hospitalité de sa communauté. Les habitants de la ville sont connus pour leur convivialité et leur bienveillance envers les visiteurs. Ils valorisent les échanges humains, les rencontres spontanées et les moments de partage. Cette ambiance accueillante crée un sentiment de sérénité et d'appartenance, encourageant les visiteurs à se détendre et à profiter pleinement de leur séjour.

Santa Barbara, en Californie, offre un véritable refuge pour ceux qui cherchent à prendre le temps de se ressourcer et à se reconnecter à l'essentiel. Avec sa beauté naturelle, son art de vivre détendu, ses activités apaisantes et sa communauté accueillante, cette ville offre une parenthèse enchantée pour savourer les plaisirs simples de la vie et apprécier chaque instant précieux. Que ce soit en se promenant sur les plages, en dégustant un café local ou en se détendant dans un spa, Santa Barbara incite les visiteurs à ralentir, à s'imprégner de l'atmosphère paisible et à prendre le temps de vivre pleinement.

vendredi 16 juin 2023

ADAV : Transformer la réponse aux urgences avec une mobilité aérienne

 

Le développement des aéronefs à décollage et atterrissage verticaux (VTOL) a connu des avancées significatives ces dernières années, révolutionnant le concept de mobilité humaine. Les aéronefs VTOL sont conçus pour décoller et atterrir en ligne droite, ce qui leur permet d'opérer dans des espaces restreints et de naviguer aisément dans des situations urbaines compliquées. Ces aéronefs combinent la fonction de sustentation verticale des hélicoptères avec la vitesse et les performances des avions à voilure tournante, hélicoptère à Barcelone offrant ainsi un moyen de transport unique.

L'apparition de la technologie VTOL ouvre d'immenses perspectives en matière de mobilité humaine, car elle permet de relever les défis posés par l'engorgement du trafic et l'insuffisance des infrastructures dans les zones densément peuplées. Grâce aux avions VTOL, les individus peuvent contourner les embouteillages au sol et voyager efficacement d'une étape à l'autre. Ces avions peuvent utiliser les héliports existants ou des vertiports spécialement conçus, réduisant ainsi la demande d'infrastructures de pistes étendues.

En outre, le développement de solutions de propulsion électrique pour les avions VTOL permet de les rendre plus respectueux de l'environnement. Les avions VTOL électroniques produisent moins d'émissions que les avions conventionnels et peuvent utiliser des énergies renouvelables, réduisant ainsi l'empreinte carbone associée aux voyages. Cette technologie s'inscrit dans le cadre de l'évolution mondiale vers des solutions de mobilité durable, en encourageant des solutions de transport plus propres et plus respectueuses de l'environnement.

Les avions VTOL offrent des avantages exclusifs dans les scénarios d'intervention d'urgence et de gestion des catastrophes. Leur capacité à décoller et à atterrir en hauteur leur permet d'accéder rapidement et efficacement à des zones éloignées ou inaccessibles. Cette capacité a un impact considérable sur les services de soins d'urgence, les opérations de recherche et de sauvetage et les livraisons de fournitures essentielles.

En cas d'urgence médicale, les avions VTOL peuvent assurer une évacuation médicale rapide, en particulier lorsque le transport au sol est entravé par des embouteillages, des terrains difficiles ou des infrastructures endommagées. La possibilité de transporter les patients directement du lieu de l'accident aux installations médicales peut réduire considérablement les délais de réponse, ce qui peut sauver des vies au quotidien. Dans des situations vitales telles que les catastrophes naturelles ou les pertes massives, les avions VTOL peuvent évacuer plusieurs personnes simultanément, assurant ainsi un triage et une intervention médicale rapides et efficaces.

Les opérations de recherche et de sauvetage bénéficient également énormément des avions VTOL. Ces appareils peuvent atteindre rapidement des endroits éloignés ou difficiles d'accès, tels que des régions montagneuses, des forêts denses ou des zones côtières. Ils sont capables d'assurer une surveillance aérienne, de retrouver des personnes disparues et de transporter rapidement les équipes de secours sur les lieux. Les capacités de décollage et d'atterrissage verticaux permettent un placement précis dans des espaces limités, ce qui permet aux sauveteurs d'atteindre les victimes dans des environnements difficiles.

En outre, les aéronefs VTOL jouent un rôle crucial dans l'acheminement des fournitures vitales dans les situations d'urgence. Lorsque les infrastructures de transport traditionnelles sont compromises, par exemple à la suite d'une catastrophe, les aéronefs VTOL peuvent acheminer directement vers les zones touchées des sources vitales telles que du matériel médical, de la nourriture, de l'eau et des articles d'urgence. Cette capacité permet de s'assurer que les efforts d'atténuation ne sont pas entravés par des obstacles logistiques et que les ressources essentielles parviennent rapidement à ceux qui en ont besoin.

Néanmoins, l'adoption généralisée des avions VTOL se heurte encore à plusieurs obstacles. Il s'agit par exemple des cadres réglementaires, des problèmes de pollution sonore et de la nécessité de développer des systèmes. Pour surmonter ces obstacles, il faudra une coopération entre les autorités aéronautiques, les urbanistes et les programmeurs technologiques afin d'établir des normes, d'intégrer des solutions de gestion de l'espace aérien et de mettre en place des installations appropriées pour assurer la sécurité et l'efficacité des opérations des avions VTOL.

En conclusion, le développement des aéronefs à décollage et atterrissage verticaux représente un bond en avant dans la liberté humaine. En intégrant les capacités de décollage et d'atterrissage verticaux, la vitesse, l'efficacité et la durabilité environnementale, la technologie VTOL a le potentiel de révolutionner le transport urbain, de décongestionner le trafic et d'améliorer les systèmes de réaction d'urgence. Cette technologie étant en constante évolution, il sera essentiel de relever les défis qui y sont liés et d'encourager les partenariats afin de découvrir toutes les possibilités des avions VTOL au profit de la société moderne.

mercredi 12 avril 2023

Sensibiliser à la biologie marine

 La biologie marine, la science qui traite des animaux et des plantes qui vivent dans la mer. Il traite également des micro-organismes aériens et terrestres qui dépendent directement des masses d'eau sodique pour les repas ainsi que d'autres nécessités de la vie. Au sens le plus large, il essaie de décrire tous les phénomènes vitaux relatifs aux myriades d'êtres vivants qui habitent dans les vastes océans du monde. Quelques-uns de ses membres spécialisés traitent de l'histoire naturelle, de la taxonomie, de l'embryologie, de la morphologie, de la physiologie, de l'écosystème et de la syndication géographique. La biologie de la mer est étroitement liée à la recherche scientifique en océanographie en raison de la relation entre les attributs physiques des océans et les organismes vivants qui y habitent. Il aide à la connaissance de la géologie marine à travers l'étude de ces organismes qui contribuent à leur squelette continue à être au fond des océans ou qui élaborent les immenses récifs coralliens des mers tropicales. L'un des principaux objectifs de la biologie marine est de découvrir comment les phénomènes océaniques contrôlent la syndication des organismes. Les biologistes marins étudient la manière dont des micro-organismes particuliers sont adaptés aux différentes substances chimiques et qualités physiques réelles de l'eau de mer, aux mouvements et courants de la mer, à la disponibilité de l'éclairage à différentes profondeurs, ainsi qu'aux zones solides qui composent le fond marin. Une attention particulière est portée à la détermination de la dynamique des écosystèmes marins, notamment à la connaissance des chaînes alimentaires et des partenariats prédateurs-victimes. Les informations biologiques marines sur la répartition des populations de poissons et de crustacés sont d'une grande importance pour la pêche. La biologie marine peut également être concernée par les résultats de formes spécifiques de pollution de l'air autour des fruits de mer et de la vie végétale des océans, en particulier les effets du ruissellement de pesticides et d'engrais provenant des ressources foncières, les déversements accidentels de pétroliers et l'envasement des routines de construction du littoral. Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, alors que l'accent était mis sur la collecte, l'explication et le catalogage des micro-organismes marins, des méthodes se sont développées pour la capture et la conservation des spécimens à étudier. Les biologistes marins ont adapté des dragues et des chaluts conventionnels pour collecter des spécimens sur vos fonds marins ; et des filets à cerceaux ont été utilisés pour sécuriser les animaux nageurs en liberté. De nouveaux équipements pour collecter des exemples d'eau et obtenir des détails sur la chaleur à n'importe quel niveau préféré ont été créés. Retardé au XIXe siècle, l'accent a commencé à passer de la collecte et du catalogage à l'évaluation organisée des écosystèmes marins et des rôles et comportements écologiques de la vie marine. Au début du vingtième siècle, les océanographes avaient commencé à effectuer des recherches intensives sur les zones de pêche et d'autres localités d'importance économique. Cette recherche a combiné des recherches sur la flore et la faune marines, les courants océaniques, la température de l'eau, la salinité et les quantités d'O2, et d'autres aspects afin de comprendre la relation entre les animaux marins et leur atmosphère. Depuis la Seconde Guerre mondiale, la visualisation immédiate des micro-organismes marins dans leurs habitats naturels a été rendue possible grâce aux appareils photo numériques sous-marins, à la télévision, à l'équipement de plongée amélioré et à l'art submersible, ou sous-marins, qui peuvent descendre à d'excellentes profondeurs. Under water tv offre à l'observateur une image constante des événements qui se produisent à l'intérieur du champ de l'appareil photo numérique immergé. La création d'un équipement de plongée inclus a permis à votre enquêteur d'examiner les micro-organismes marins dans leur environnement naturel. Les recherches morphologiques et taxonomiques des micro-organismes marins sont généralement menées sur des matériaux conservés en relation avec le travail dans les musées et les collèges. Les investigations physiques et embryologiques nécessitant l'utilisation de matériaux vivants sont généralement menées dans des stations biologiques. Ils sont situés sur le littoral, facilitant ainsi le transfert rapide des spécimens vers le laboratoire où ils peuvent être pris en charge dans l'eau de mer fournie par des systèmes uniques de remise en circulation. En réalité, l'objectif principal de la géologie marine continue d'être sur la sédimentation marine et sur la compréhension des nombreux échantillons de base qui ont été obtenus au fil des ans. L'avènement de l'idée d'une répartition des fonds marins dans les années 1960 a néanmoins considérablement élargi l'éventail de la géologie marine. De nombreuses études sur les dorsales médio-océaniques, le magnétisme rémanent des roches autour du fond marin, les analyses géochimiques des piscines de saumure profonde, ainsi que l'étalement du fond marin et la dérive des continents peuvent être considérés comme faisant partie du domaine de base de la géologie marine.

mardi 14 février 2023

Ramjets et avions supersoniques

 

Hormis un bref batifolage avec des prototypes propulsés par des fusées et une brève période de SST, le désir de l'homme d'aller vite n'est pas plus évident dans le monde des jets rapides, les forces aériennes du monde entier obtenant tous les meilleurs jouets pour jouer avec.

Tout comme à l'époque du Concorde et de son homologue européen, le SST, les jets militaires sont, dans l'ensemble, de plus en plus lents. Une fois que la vélocité a assuré une meilleure chance de survie, les couleurs noires mates et les formes furtives bizarres sont la tendance actuelle. Cependant, si vous voulez vraiment aller vite, revenez quelques décennies en arrière. Les chasseurs à réaction les plus rapides sont arrivés à maturité pendant la guerre froide, les puissances soviétiques et de l'OTAN ont investi des milliards dans la recherche et le développement de la machine à vitesse ultime. Le Foxbat règne toujours en maître, suivi de près par plusieurs autres styles de Mig. Si la suprématie dans l'atmosphère n'était due qu'à la vitesse, nous parlerions tous d'un autre vocabulaire.

L'ère des avions à réaction rapides est pratiquement terminée, les forces aériennes se tournent de plus en plus vers les drones ou les drones sans pilote, qui éliminent l'élément humain, du moins en ce qui concerne les risques.

Le premier avion à voyager à des vitesses supersoniques était un avion d'étude Bell By-1 propulsé par une fusée et piloté par le major Charles E. Yeager de l'armée de l'air américaine le 14 octobre 1947. Après avoir été largué du ventre d'un Boeing B-29, le XS-1 a franchi la barrière de l'apparence (locale) à 1 066 km (662 miles) par heure et a atteint une vitesse de pointe de 1 126 km (700 miles) par heure, soit Mach 1,06. Par la suite, de nombreux avions des services militaires capables de voler en supersonique ont été construits, bien que leur vitesse soit généralement limitée à Mach 2,5 en raison de problèmes liés à l'échauffement par frottement de la peau de l'avion.

Le tout premier transport supersonique (SST) était le Tupolev Tu-144 soviétique, qui a effectué son premier vol supersonique en juin 1969 et a commencé à transporter le courrier postal entre Moscou et Alma-Ata (Almaty) en 1975. Le tout premier avion commercial supersonique de transport de passagers, le Concorde, a été construit conjointement par les constructeurs d'avions britanniques et français ; il a effectué sa première traversée transatlantique le 26 septembre 1973 et est entré en service régulier en 1976. English Airways et Air France ont cessé d'utiliser le Concorde en 2003. Le Concorde avait une vitesse de croisière optimale de 2 179 km (1 354 miles) par heure, soit Mach 2,04.

Le statoréacteur constitue un moyen de propulsion facile et efficace pour les avions à des vitesses de vol supersoniques relativement élevées. Il est cependant assez inefficace à des vitesses de vol transsoniques et est complètement inefficace à des vitesses subsoniques. Le turboréacteur continue d'être développé pour remédier à cette insuffisance. Dans ce programme (illustré à la figure 8), une turbosoufflante est construite dans l'entrée d'un statoréacteur pour charger le second d'un flux d'air pressurisé à la vitesse de vol subsonique de la compagnie aérienne, où la pression du statoréacteur est insuffisante pour un fonctionnement efficace du statoréacteur. En vol supersonique, les pales de la soufflante, si elles sont à pas variable, peuvent être mises en drapeau de sorte qu'elles n'interfèrent généralement pas avec le flux d'air du statoréacteur. Une entrée séparée du moteur primaire qui entraîne la soufflante peut être fermée afin de ne pas exposer la turbomachine à l'atmosphère hostile de l'atmosphère du statoréacteur à haute température.

Une autre variante du turboréacteur se passe entièrement de l'entrée du noyau et du compresseur primaire. À la place, l'avion transporte un réservoir d'oxydant, AEA comme de l'oxygène liquide. L'oxydant est fourni dans la chambre de combustion primaire avec l'énergie nécessaire pour soutenir la procédure de combustion, qui génère le flux de gaz chauds pour alimenter la turbine qui entraîne le ventilateur. Pendant le vol supersonique d'une compagnie aérienne, le ventilateur peut être mis en drapeau, et un surplus de carburant peut être introduit dans la chambre de combustion principale. L'énergie non brûlée passe avec la turbine du ventilateur et subit une combustion dans le statoréacteur lorsqu'elle se mélange avec l'air frais entrant par le flux de dérivation de l'amant.

mardi 3 janvier 2023

Profiter de la finance

 Une obligation verte est un type d'instrument à revenu fixe spécifiquement destiné à lever des fonds pour des projets climatiques et environnementaux. Ces obligations sont généralement liées à des actifs et adossées au bilan de l'entité émettrice, elles ont donc généralement la même cote de crédit que les autres titres de créance de leurs émetteurs.
L'un des premiers promoteurs des obligations vertes a été International Finance Corporation, une filiale de la Banque mondiale. La renommée d'IFC rendait les économies émergentes sûres pour les banques d'investissement en les encourageant à développer les marchés de capitaux, comme en les exposant à des flux de capitaux chauds déstabilisants. IFC a été un des premiers promoteurs d'obligations vertes, à partir de 2010. La Banque mondiale revendique également un programme d'obligations vertes qui, selon elle, remonte à 2008 (je ne sais pas dans quelle mesure il s'agit d'un changement de marque rétrospectif, ni dans quelle mesure Les IFC Green Bonds sont sous le régime de la Banque mondiale).
Le Wall Street Journal a rapporté aujourd'hui que les obligations vertes obtiennent un suivi, bien que toujours faible par rapport à la taille des marchés obligataires:
Community Preservation Corp. a émis une obligation de durabilité de 150 millions de dollars, la plus importante vente de ce type par une institution financière de développement communautaire, ou CDFI.
L'accord du prêteur immobilier à but non lucratif de New York fait partie d'une vague de nouvelles ventes de dettes qui devraient alimenter l'émission record d'obligations vertes, sociales et durables en 2020.
Alors que les investisseurs de la dette réclament plus d'options pour atteindre leurs objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance, ou ESG, les banques d'investissement élargissent leur offre au-delà des obligations vertes, qui se concentrent sur des projets environnementaux. Les obligations sociales financent des programmes avec des objectifs tels que l'accès aux soins de santé, la sécurité alimentaire et l'emploi équitable, tandis que les obligations de durabilité combinent des initiatives vertes et sociales.
L'émission mondiale d'obligations dans les trois catégories atteindra probablement 400 milliards de dollars cette année, soit une augmentation de 24% par rapport à 2019, selon Moody's Investors Service… .Manhattan Community Preservation, qui prête aux ensembles de logements abordables multifamiliaux, a achevé une durabilité de 10 ans. obligataire à 2,87% la semaine dernière. Le prêteur utilisera le produit pour refinancer les prêts bancaires qu'il a historiquement utilisés pour financer des projets, a déclaré une personne proche du dossier….
Sustainalytics a fourni une opinion indépendante sur le cadre d'obligations de développement durable à but non lucratif.
Ces transactions représentent une petite partie du marché global de la dette, mais leur part augmente rapidement, selon une étude de Moody's. Les obligations vertes, sociales et durables ont représenté 4,5% des émissions obligataires mondiales en 2019 et devraient atteindre 5% à 7% cette année, contre 3% en 2018, a indiqué la firme dans un rapport.
Inutile de dire qu'il y a beaucoup de choses à ne pas aimer dans cette idée:
Au mieux, cela tripote pendant que la planète brûle. Même si vous prenez ce régime au pied de la lettre, mettre un sceau vert d'approbation sur des investissements particuliers ne changera pas grand-chose au comportement des investisseurs. Oui, il peut y avoir des «fonds verts» qui essaient de répondre aux besoins des meilleurs investisseurs. Mais le comportement des investisseurs a jusqu'à présent été d'éviter sélectivement les maux (pour certains charbon, pour d'autres, les acteurs des combustibles fossiles en général).
Mais jusqu'où pouvez-vous aller avec cette approche? Aux États-Unis, 75% de l'électricité provient de sources d'énergie fossile, de sorte que les voitures électriques contribuent toujours au réchauffement climatique. Et plus généralement, tout nouveau développement / nouveau projet d'infrastructure fera un usage intensif de notre système de transport actuel, très consommateur de combustibles fossiles pour y arriver. Par exemple, le coût énergétique de la construction d'une nouvelle maison éconergétique représente environ 10 fois le coût énergétique annuel d'une maison traditionnelle traditionnelle de taille similaire.
Le financement privé n'est pas la bonne façon de mobiliser des ressources pour répondre aux besoins publics. De nombreuses études ont montré que les investisseurs privés accordent un taux d'actualisation beaucoup trop élevé, ce qui est une façon élégante de fixer leurs exigences de rendement trop élevées. Rappelons que Sir Nicholas Stern a fait valoir que le taux d'actualisation correct pour évaluer les coûts et les dommages liés au changement climatique était de 0,5%. Vous pensez que même un investisseur super vert accepterait une telle décote pour rentabiliser le marché pour un investissement à long terme?
Et peut-être le point le plus évident est que la restructuration de notre économie pour utiliser beaucoup moins de tout et être plus économe en énergie et en ressources n'est pas une question de retour, mais de maintien d'un certain niveau de civilisation. Nous sommes actuellement sur une voie rapide vers un Jackpot, avec peu d'espoir d'un scénario de William Gibson de 20% de la population et à peu près toutes les commodités qui le feront. Donc, soumettre des projets qui nous sauvent de nous-mêmes dans un cadre de rendement financier est tout simplement plus de ce qui nous a mis dans ce pétrin en premier lieu.
En gardant, Nassim Nicholas Taleb a adopté une position plus dure d'esprit, que nous n'avons qu'une seule planète et que nous ne pouvons pas nous permettre (pour simplifier grossièrement son argumentation) de prendre des risques de queue qui entraînent la destruction du seul habitat que nous avons (bien que nous sommes déjà très loin dans cette voie). Son ardent défenseur du principe de précaution signifie que les remèdes ne résident pas dans le domaine des gadgets d'investissement mignons qui pourraient sauver quelques points de base, mais de l'interdiction.
Bon nombre de ces projets seront écoblanchis. Avez-vous remarqué la présence, dans l'article du Wall Street Journal, d'un certificateur rémunéré? Quiconque est plus qu'un acheteur occasionnel d'aliments biologiques sait que le biologique «couvre une multitude de péchés et que l'USDA biologique» est une barre basse. Le Far West de la finance est encore plus sujet aux gadgets. Le plafonnement et l'échange sont remplis de fraudes en raison du manque de supervision et d'application indépendantes. Les programmes de compensation carbone ne sont pas beaucoup mieux. Du Financial Times:
Grâce au changement climatique, une panoplie d'organisations proposent désormais d'absoudre la culpabilité de polluer si nous les payons pour compenser le carbone, parfois en plantant des arbres. Si leurs motivations peuvent être admirables, cette nouvelle ruée vers l'or pourrait s'avérer être une illusion dangereuse…
Mais il est beaucoup plus facile d'acheter le crédit que de vérifier la réduction - surtout si elle a lieu sur un autre continent et aurait pu se produire de toute façon.
Prenez des arbres. Le reboisement est à juste titre devenu à la mode, étant donné les ravages causés aux forêts par l'agriculture. Mais les arbres ont besoin de plusieurs années de soins pour devenir suffisamment grands pour agir comme des puits de carbone; et leur valeur dépend de l'endroit où ils se trouvent. Cliquer sur faire un don »ne garantit pas une bonne gérance ou un audit. L'expérience moderne du Vatican avec les indulgences a rencontré des problèmes en 2007, lorsqu'une forêt qui était censée rendre le Saint-Siège neutre en carbone s'est avérée inexistante.
Même de vrais projets peuvent ne pas représenter un gain net pour l'environnement. Une étude de 2016 a révélé que 73% des crédits de carbone procuraient peu ou pas de gains environnementaux, car ils soutenaient des projets qui se seraient produits de toute façon. Ce chiffre est passé à 85% des projets dans le cadre du Mécanisme pour un développement propre de l'ONU, qui émet un crédit carbone pour chaque tonne de CO2 évitée grâce à des investissements dans les pays en développement.
Plus subtilement, même des projets ponctuels bien intentionnés peuvent avoir des coûts importants en termes d'autres ressources rares. Il n'y a pas seulement trop peu d'action, il y a aussi trop peu de reconnaissance de la complexité des coûts environnementaux. L'exemple simple est la prétention que la fracturation hydraulique est meilleure que les puits de pétrole traditionnels, ignorant les coûts des rejets de méthane, les dommages aux aquifères et aux approvisionnements en eau, le coût de la fracturation hydraulique du sable et l'augmentation du risque de tremblement de terre. Non pas que quiconque donnerait à la fracturation un cachet vert d'approbation, mais il a été présenté comme une source d'énergie plus propre que les autres combustibles fossiles.
Un cas plus typique n'est pas de peser le coût de l'utilisation des terres rares et d'autres matériaux coûteux pour l'environnement dans les véhicules électriques et les éoliennes, ni les coûts énergétiques des solutions à une eau potable de plus en plus rare.
Cette approche consiste principalement à graisser un peu les paumes des intermédiaires à des fins de relations publiques. Même si l'article du Wall Street Journal ci-dessus raconte comment Community Preservation Corp. a réduit son coût du capital via ses obligations vertes, un lecteur attentif noterait que c'était en comparaison le coût de ses prêts bancaires existants. Il n'y a aucune mention que les obligations vertes réduisent les points de base des coûts de collecte de fonds, le genre de calcul que vous voyez tout le temps lorsque l'émetteur compare le financement à taux fixe simple à un emprunt à taux variable combiné à un swap de taux d'intérêt.
Le coût de la certification verte devrait être inclus dans la détermination du taux d'intérêt effectif de l'émetteur, mais ne l'est probablement pas.
Du côté de l'épargne de rendement possible, les gros investisseurs qui souhaitent améliorer leur apparence sont principalement les grands fonds de pension publics comme CalPERS, les gestionnaires de fonds institutionnels comme BlackRock qui doivent afficher des rendements compétitifs, des fondations, des dotations et certains fonds souverains. Mais même CalPERS, dont le conseil d'administration est terriblement enthousiasmé par l'investissement socialement responsable de toutes sortes, a un personnel qui les vérifie régulièrement car en tant que fiduciaires, ils doivent accorder la priorité absolue aux rendements des investissements en raison de leur statut de fiduciaire.
Donc, si cet exercice doit entraîner une baisse des coûts de financement pour les émetteurs (comme chez les personnes recherchant la pâte), cela dépend de trouver des drageons. Martin Armstrong soutient:
Il existe des liens solides entre les plus grands groupes financiers du monde, dont Goldman Sachs, qui font avancer le programme sur le changement climatique en vendant des obligations vertes », le dernier en date à savoir comment perdre beaucoup d'argent très rapidement. Ils promettent d'être d'excellents vendeurs en incitant les gens à croire qu'ils peuvent faire leur part en achetant des obligations climatiques vertes.
L'objectif est d'exploiter littéralement des billions de dollars sur les marchés obligataires en capturant de nouvelles richesses auprès d'une jeune génération ignorant l'investissement. Il existe de grandes banques mondiales et des géants financiers qui espèrent obtenir plus qu'une part équitable d'un marché qui perd de l'argent avec une bonne cohérence…
La dernière fois qu'il y a eu un tel mouvement avec un désinvestissement moral, c'était dans l'industrie du tabac. Cela s'est avéré être plus évident que la vérité et cela a simplement entraîné la conversion de l'ensemble du secteur en actions de revenu axées sur la valeur.
Il semble que, comme l'Occident semble prétendre qu'il a une conscience, ils semblent vendre à des institutions publiques appartenant à des entités russes, chinoises ou moyen-orientales. Il s'agit simplement de changer de propriétaire, pas de fermer les entreprises ou de changer l'utilisation des combustibles fossiles.