Les particuliersont pris l’habitude de disposer d’informations sur les tarifs pratiqués sur des produits et services en temps réel. L’évaluation du meilleur rapport qualité-prix fait partie des réflexes d’achat. Un service rendu possible grâce à de nombreuses plateformes en ligne regroupant les avis clients, les coordonnées des professionnels et des options de réservation. Ces outils de comparaison sont devenus des vecteurs de business incontournables. Mais les TPE-PME ne sont pas toujours armées pour exploiter ces données et améliorer leur relation-client. Un fait que révèle le 1er baromètre publié jeudi 24 novembre 2016 par PagesJaunes, récoltés à partir des témoignages d’un échantillon de 2000 particuliers et 1000 TPE-PME de moins de 250 salariés, à l’exclusion des entreprises du secteur industriel. D’après ce baromètre, plus de 7 français sur 10 consultent des avis en général et 60% en déposent. La cible principale, car la plus impliquée, ce sont les 25-34 ans : 89% déclarent consulter les avis en ligne avant de choisir un produit ou un service. Parmi les sondés, 83 % des particuliers estiment que les avis peuvent les aider dans leurs choix.Ils sont 75 % a choisir en priorité les entreprises qui disposent d’avis sur Internet. Si 84% des entreprises veulent répondre à ce besoin pour conquérir de nouveaux clients, elles ne sont que 68 % à avoir pris pleinement conscience de l‘influence des avis dans les choix de consommation. Pire, seuls 38% des professionnels jugent que leur présence en ligne a une influence sur la réussite de leur activité. Si les TPE-PME peinent à exploiter les bénéfices des avis en ligne, cela relève davantage d’un découragement et d’une mauvaise connaissance des usages que d’un désintérêt global. Notamment lorsqu’il s’agit de réaliser un suivi des avispubliés. Car encourager le dépôt d’avis sur sa page professionnelle ne suffit pas. Il faut également répondre aux commentaires postés par les clients. Un peu plus d’une entreprise sur deux (55 %) est convaincue de l’importance de ce suivi et 86 % des TPE-PME estiment que répondre à des avis permet de nourrir la relation-client. Pourtant, elles ne sont que 23 % à savoir ce qui se dit d’elles sur Internet. Pour opérer ce suivi, 63% des entreprises qui se disent concernées par le sujet ont recours à une personne (dirigeant inclus) pour répondre aux internautes. Ceux qui rencontrent des difficultés sont 62 % à penser que la gestion des avis prend trop de temps, et 47 % indiquent qu’il est parfois difficile de savoir comment répondre correctement. Contrairement aux idées reçues, les commentaires positifs ne font pas tout. La méfiance des particuliers à l’égard des avis en ligne est importante, dans un contexte où certaines entreprises ont déjà été pointées du doigt pour avoir posté de faux avis clients. 62% des internautes pensent qu’un professionnel qui possède des avis positifs et négatifs gagne en crédibilité par rapport à ceux qui ne possèdent que des contributions positives. La méfiance reste de mise. 4 français sur 10 et 6 entreprises sur 10 déclarent que les avis déposés sur internet sont à prendre avec précaution. Il s’agit surtout d’un problème d’authenticité. 34% des internautes et 54% des entreprises indiquent qu’il est difficile de distinguer un avis authentique d’un avis qui pourrait être rédigé par un faux client. Le baromètre PagesJaunes a été élaboré à partir d’un échantillon de 2009 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et d’un échantillon de 1001 TPE-PME représentatives des entreprises de moins de 250 salariés, à l’exception des entreprises du secteur Industrie. Cette enquête a été réalisée du 22 juillet au 2 août 2016.
vendredi 14 avril 2017
mercredi 12 avril 2017
Miami se met au vin
Aussi vite que la profondeur et la qualité des restaurants de Miami ont grimpé au cours des dernières années, la cuisine à base de plantes - qui a poussé dans de nombreuses villes des États-Unis - n'a pas connu de répercussions ici. Mais en février, Matthew Kenney, un chef formé de façon classique qui s'est transformé en un des bosses de la viande de la nation, est sorti sur Wynwood avec Plant Food and Wine, l'allée culinaire fascinante et créative de l'hygiène et l'oasis de guérison de Karla Dascal, Espace sacré de Miami. Situé dans un magnifique jardin de manger, le restaurant et l'académie de cuisine adjacente ont un aspect moderne, avec une salle à manger à carreaux plissés, une cuisine d'exposition, un bar soigneusement stocké et environ 100 places. Kenney a créé le concept, inspiré de Plant Food and Wine à Venise, en Californie. (Il a quatre autres écoles culinaires, des restaurants supplémentaires à New York et le Maine, et un plan pour ouvrir un à Hong Kong.) Scott Winegard, directeur national de la cuisine, a créé le menu, et Horacio Rivadero (anciennement Tantalize et le district) Est le chef de cuisine sur place. Les aliments sont soit complètement crus, déshydratés, fermentés, fumés ou cuits sous vide. Le menu propose des salades et autres entrées, plats, desserts et plats multi-pièces partageables. Deux concepts sont à l'œuvre: certains plats ont l'air, le son et le goût comme des plats familiers qui incorporent des produits d'origine animale. D'autres ne l'ont jamais vu avant les créations, et Kenney dit qu'il essaie d'évoluer au point où tout son menu suit le dernier format. Mais ce serait dommage, si cela coûte les fromages artisanaux Plant Flora. Les noix de cajou ou les noix de macadamia et les noix de cajou sont mélangés avec de l'eau, on peut fermenter pendant quelques jours, aromatisés à de la fumée ou à de la truffe ou du poivre et vieillis au moins deux semaines. Il en résulte des fromages crémeux et doux qui ont la saveur et la sensation de la bouche du fromage à base de produits laitiers. Ils sont servis avec des cornichons de concombres, de céleri ou de rhubarbe, de craquelins de fenouil et de fenouil, une variété de purées de fruits et font un excellent départ avec un verre de vin bio. Le fromage bleu coûte 6 $, ce qui en vaut la peine. Parmi les shareables, ne manquez pas une assiette de trois boulettes de kimchi grasses. Le kimchi rouge fermenté est pulsé dans une pâte avec des noix de cajou, du sésame, du gingembre et de l'huile de sésame. Les enveloppes sont faites de noix de coco thaïlandaise déshydratée, avec la texture wonton intempéries et la richesse oozy du addictif de remplissage. Le coriandre-gingembre de mousse de sésame et de kimchi mélangé à de l'huile d'olive sont les trempettes. Vous pourriez penser que l'avocat brisé avec le culantro, le radis et le citron ressemble à du guacamole, et il a un goût comme le guacamole, bien que sans les saveurs mexicaines. Trempez dans la portion généreuse avec des chips de chia de tournesol. Source: cours d'oenologie.
Inscription à :
Articles (Atom)